Une fois en place, vient le mouvement d’armement: le pousser-tirer. Le bras d’arc pousse l’arc et l’élève alors que le bras de corde tire la corde et amène son index toucher la commissure de ses lèvres: le point d’ancrage.
Un mouvement d’armement exécuté ainsi permet de répartir l’effort de manière symétrique, alors que si ce mouvement débute avec le bras d’arc tendu et déjà levé cette symétrie est brisée et des risques de blessures, à la nuque notamment, apparaissent.
Atteindre le point d’ancrage est capital: c’est notre seul point fixe! La hauteur finale du bras d’arc va varier en fonction de la distance à la cible, idem pour la répartition du poids du corps. L’écartement des pieds changera selon le relief. seule constante: l’allonge de l’archer.